Xerjoff Opera Eau de Parfum

Bébé qui sent mauvais !

J'ai reçu ce parfum en cadeau et je souhaite laisser un avis ici, car je suis habituellement adepte des parfums de maquillage.

C'est un parfum qui vaut la peine et son prix, car j'ai été surpris par sa longévité. J'ai peut-être été un peu excessif avec les pulvérisations (4-6), car mes vêtements sentaient persistamment pendant plusieurs jours. Ensuite, l'odeur a commencé à s'estomper (même si je l'ai seulement légèrement frotté sur le col de ma veste et que d'autres parfums ne tiennent pas sur ma peau, mais ceux-ci le font - du matin jusqu'à... Je ne pouvais pas les laver moi-même, c'est exactement le genre de parfum qui laisse une trace. Quant à l'odeur elle-même, c'est un mélange clair d'ylang-ylang, de noix et de cèdre, un parfum d'aristocratie, et on ne peut pas le porter avec des baskets.

Une fragrance pour les passionnés ! Je la classerais dans la catégorie vintage. Je suis content d'avoir acheté un échantillon. C'est un parfum très audacieux, très original et incroyablement longue tenue. Au début, j'ai aimé, mais au bout d'environ une heure, cela m'a commencé à me donner la nausée. J'ai essayé de le laver, mais ça n'a pas aidé. J'ai lavé mes poignets deux fois avec du savon, et malgré ça, je pouvais encore le sentir même 12 heures plus tard. Ça fait maintenant une journée entière que ça est sur ma peau, et je peux encore le sentir même après m'être douché et avoir fait les tâches ménagères. Il est probablement incrusté dans ma peau, et je ne pense pas qu'il puisse être lavé des vêtements. Je recommande de le tester avant d'acheter. Mais si vous aimez l'odeur, la longévité est simplement superbe ! Ce sont de bons parfums, mais définitivement pas pour moi. C'est dommage qu'ils n'aient pas fonctionné pour moi.

Au début, le parfum repoussait avec une note puissante de chewing-gum fruité, ce qui causait surprise et déception, frôlant le désespoir : c'est donc là que tout l'argent a été dépensé ! Et cela a duré assez longtemps, environ une demi-heure. Et puis... ensuite, la beauté indescriptible a simplement commencé.

Quand le cerveau s'est habitué aux composants sonores, il a commencé à distinguer des nuances, des détails et des nuances dans la composition, ne la percevant plus grossièrement et de manière hostile. C'était comme s'approcher d'un tableau fait à l'huile de près et penser : oh là là, quelles touches brouillonnes, même laides - mais en reculant : un chef-d'œuvre de génie, une image complète et harmonieuse.

Maintenant, passons à l'essentiel. Le chewing-gum s'est avéré être de l'ylang-ylang, dont il y en avait effectivement trop au début. Mais au fur et à mesure que le parfum se stabilise, l'ylang-ylang s'estompe en arrière-plan, laissant place à un accord très cohérent de fruits, de roses, d'ambre et de patchouli léger, agrémenté de muscade. Cela continue pendant une heure, peut-être une heure et demie. Et puis vient la partie la plus inhabituelle : quelque chose se produit avec le parfum, lui donnant une odeur distincte de tapisserie de velours toute neuve sur les sièges des stalles, d'un sol de scène fraîchement nettoyé, de rideaux de velours légèrement poussiéreux aussi. Et c'est un pur délice. Le point culminant est la subtile note d'amande froide et légèrement métallique, qui n'est pas mentionnée dans la pyramide olfactive mais qui est définitivement présente. Et cette beauté persiste longtemps, environ 6 ou 7 heures, flottant très délicatement, intelligemment, vous rappelant constamment sa présence (mais sans aucun cri d'attention). La base est également bonne (vanille, cèdre, ambre et musc - tous très légers, presque crémeux), mais toujours pas aussi belle que le cœur. Définitivement unisexe, sans masculinité ni douceur excessive. Recommandé pour une connaissance approfondie et réfléchie.